Dans cet extrait, Pierre Juresco raconte les combats pour la libération de Romans-sur-Isère et la libération de Lyon. Il explique le passage de la clandestinité à l’armée officielle et la poursuite de la guerre en Alsace. Il évoque enfin son retour au lycée et son sentiment de déphasage par rapport à ses camarades de classe.

Dans cet extrait, Max Jussmann relate la libération d’Auch (Gers) et les combats à l’Isle-Jourdain au sein du Bataillon Georges. Il rend hommage à l’engagement des étrangers dans les combats de la Libération.

Arlette Testyler raconte la rafle du Vélodrome d’Hiver, le 16 juillet 1942, à partir de son arrestation avec sa mère Malka et sa sœur Madeleine. Elle décrit l’opération conduite à l’aube par la police française, explique  comment un policier aida une voisine et son enfant à échapper à la rafle. Arlette rappporte enfin ses impressions sur  son internement au Vélodrome d’Hiver.

Léon Favier raconte son transfert et son arrivée au Vélodrome d’hiver le 16 juillet 1942. Il décrit les conditions de transport et explique comment il retrouve, en compagnie de ses parents, d’autres membres de sa famille. Il évoque aussi l’atmosphère générale durant la première nuit en ces lieux.

Marcel Wainstain raconte son expérience au Vélodrome d’Hiver. Il explique aussi comment il a pu sortir de ce lieu d’internement avec sa petite soeur Frajdla Wajnsztajn avant d’y rentrer à nouveau pour demeurer auprès de sa famille.

Regin Rybak raconte ce qu’elle a vécu avec son fils Simon, lorsqu’elle a été arrêtée et emmenée au Vélodrome d’Hiver le 16 juillet 1942. Elle décrit les conditions d’internement et l’aide reçue d’un policier français pour sortir des lieux.

Michel Muller évoque sa fascination par la Tour Eiffel au moment où l’autobus qui l’emmène au Vélodrome d’Hiver passe devant le monument. Il décrit les conditions qu’il endure pendant quelques jours avec sa famille en ces lieux.

Dans cet extrait, Henri Heller évoque les combats de la Libération dans l’armée française, dans les Vosges, à l’automne 1944. Il raconte la dissolution de son unité composée d’étrangers.

Dans cet extrait, Sarah Montard raconte comment elle est parvenue à s’échapper du Vélodrome d’Hiver avec sa mère, chacune de leur côté.

Dans cet extrait, Reine Klotz raconte son retour à Paris après la Libération et son travail au ministère de la Guerre, consistant à régulariser la situation de milliers de résistantes.

Dans cet extrait, Marcel Kuchman raconte l’action menée par son maquis contre les Allemands à Tulle. Il évoque la répression des résistants par la division Das Reich à Tulle et à Oradour-sur-Glane, et celle menée au Mont-Mouchet et dans le Vercors. Marcel Kuchman est né le 8 janvier 1923 à Varsovie (Pologne). Il a un frère aîné, Jean, et un frère cadet, Georges. Son père Bernard exerce la profession de boulanger. Il grandit dans un milieu populaire, bien intégré, et fréquente les réunions du parti communiste.

Dans cet extrait, Denise Lévy raconte les difficultés matérielles qu’elle rencontre après la Libération lorsqu’elle se réinstalle à Paris avec ses parents.

Dans cet extrait, Bernard Teperman raconte comment il s’est installé place Guichard avec son groupe franc au moment de la libération de Lyon. Là, il reçoit des dénonciations de collaborateurs, procède à des enquêtes et à l’élimination des coupables.

Dans cet extrait, Frida Wattenberg raconte comment elle fut envoyée à Clermont-Ferrand par la Résistance. Là, elle dut récupérer le fichier des Juifs au Bureau des questions juives de la ville.

Dans cet extrait, Denise Weill raconte l’arrestation des enfants de la rue Vauquelin, en juillet 1944. Elle évoque la fin de la guerre, l’inquiétude pour ses proches et la peur du bombardement du 26 août 1944, au lendemain de la libération de Paris.

Dans cet extrait, Victor Zigelman évoque son engagement dans les FFI après la Libération de Paris. Il raconte les entraînements militaires, son désir de combattre et l’attente vaine, pendant un an, pour partir au front.

On the night of Sidney Bratt’s interview his family was celebrating Hanukkah. He recites the Hanukkah candles blessings from the Jewish prayer book (Siddur) which once belonged to his mother, and is surrounded by his wife and grandchildren while doing so.

Ursula Bruce was only a child when her family fled Nazi Germany to South Africa in the 1930’s. When Ursula married and had her own family she became very involved in human rights and joined the Institute of Race Relations. Even Ursula’s son refused to join the South African military to protest the government’s racist policies. She reflects on her family’s relationship with Nelson Mandela, former South African president and anti-apartheid leader who died on December 5 2013. He was 95 years old.

United States army veteran Don Shimazu remembers the Japanese attack on Pearl Harbor December 7 1941. He was a part of the ROTC (Reserve Officers' Training Corps) at the University of Hawaii and remembers being put on duty right away.  A Hawaiian native, he also reflects on the tension the attack created in his family, since his parents were Japanese citizens.

Barry Bruk speaks of the deteriorating living conditions in the Lódz ghetto, Poland, in late 1941. He remembers the deportation of thousands of Jews from the Lódz ghetto to the Kulmhof Death Camp in Chelmno, Poland, in January 1941 and relates that his sister, brother-in-law and young nephew were among those deported and killed in the camp.

Gussie Zaks recalls her arrival to Bergen-Belsen concentration camp in Germany. She remembers the horrible camp conditions and how many women in her camp did not survive.

Jan Karskiwas recognized as Righteous Among the Nations by Yad Vashem for risking his life in order to alert the world about the Holocaust. He remembers meeting award-winning French documentarian Claude Lanzmann, who interviewed Karski for his film Shoah, a nine and a half-hour documentary about the Holocaust.

Alice Craig recalls her family’s deportation to Auschwitz. She remembers how her father prepared for the deportation by burying important family documents and how he knew that they wouldn’t be returning.

Josef Feingold describes in Spanish, his decision for not boarding the ship “Struma” on December 12 1941, set to sail from Constanta, Romania, en route to British Mandate Palestine, for fear the ship was unsafe and too overcrowded for the journey. He relates that, with almost 800 refugees on board, the Struma reached Istanbul, Turkey but it was not allowed to land. Instead, it was anchored offshore thus forcing the passengers to stay on board for several weeks. The Struma was finally set adrift, but was torpedoed and it sank off the coast of Sile, Turkey, on February 24, 1942.