by Caroline Friend
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Raphaël Burgel est né le 1er décembre 1914 à Tours. Sa famille s’installe à Paris où elle demeure jusqu’en 1927, avant de déménager à Villennes (Seine-et-Oise). Ouvrier métallurgiste, il rejoint la zone non occupée en janvier 1941. Il est arrêté par la police allemande alors qu’il tente de quitter la France pour l’Espagne. Il parvient toutefois à dissimuler ses origines juives et il est déporté en tant que résistant à Buchenwald, en juin 1943. Après un rapide transit par le camp de Maidanek, il est transféré à Auschwitz où il travaille dans une scierie.
Dans cet extrait, Adolphe Kornman raconte comment il a passé la frontière franco-suisse en mai 1944 accompagné d’autres enfants. Il se souvient de l’accueil chaleureux des premiers habitants suisses rencontrés derrière la frontière.
Régine Jacubert est née le 24 janvier 1920 à Zagorow (Pologne). La famille part pour la France en 1930 et s’installe à Nancy. Réfugiée à Bordeaux avec les siens en 1940, elle rentre seule à Nancy où elle travaille. Le reste de sa famille est arrêté et interné. A Nancy, elle échappe à la grande rafle du 19 juillet 1942 et passe clandestinement en zone Sud. A Lyon, où elle a trouvé un travail, elle entre dans le mouvement de résistance Combat, en janvier 1943. Arrêtée en juin 1944, elle est interrogée à la Gestapo, notamment par Klaus Barbie.
L'USC Shoah Foundation – Institut pour l’histoire visuelle et l’éducation, a organisé une exposition qui a été présentée au siège de l’UNESCO, à Paris. Cette exposition fut l’un des volets de la Journée internationale du souvenir de l’Holocauste pour l’année 2013. Chaque année, le 27 janvier – date anniversaire de la libération d’Auschwitz-Birkenau –, il est rendu hommage aux victimes de l’Holocauste.
Margita Schwalbová opisuje, ako sa dostala ako dobrovolníčka do prvého transportu Židov z Bratislavy.
Ana Benkel de Vinocur describe sus primeras impresiones del campo de concentración Auschwitz II-Birkenau a su llegada del gueto de Lódz en mayo de 1944. Ella recuerda su reacción cuando se abrieron las pesadas compuertas del tren de deportación y vio a los prisioneros vistiendo uniformes rayados, calvos, luciendo como esqueletos. Ella habla de la confiscación de todas sus pertenencias y del proceso de selección durante el cual se mantuvo con su madre, pero fue separada de su padre y hermano.
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