The Visual History Archive contains 53,000 eyewitness testimonies to genocide and mass atrocities. What you might not know is that each testimony is indexed to the minute with over 62,000 keys words in the entire Archive. USC Shoah Foundation commemorates National Archives Month this November by participating in #AskAnArchivist Day on Thurs., Oct. 1, and sharing 10 more unique facts about the Visual History Archive.
AskanArchivist, National Archives Month, visual history archive, op-eds / Thursday, October 1, 2015
A few familiar faces and many more new students attended the first session of the 2015-16 Junior Intern program at USC Shoah Foundation this weekend.
junior interns / Thursday, October 1, 2015
Three different video clips from Roman Kent's tesitmony including life before, during and after the Holocaust.
clip, clip, male jewish survivor, male jewish survivor, roman kent, roman kent / Thursday, October 1, 2015
A series of clips from survivors speaking about their experiences with personal as well as institutional forms of discrimination. These clips include testimonies from the European Holocaust, the Armenian Genocide, and the Genocide against the Tutsi in Rwanda collections.
tcv, discrimination / Thursday, October 1, 2015
Several people responded to active discrimination by helping the victims in different ways. This is a collection of clips highlighting testimony from survivors and aid givers themselves. One question that sometimes emerges in these clips is "what made you stand up to discrimination and racial intolerance?"
tcv, discrimination, aid giving, rescue / Thursday, October 1, 2015
At the end of each interview the Institute recorded for the Archive, the interviewer would ask the interviewee if he or she had a special message for future generations watching the interview. The survivors and other witnesses often spoken about such themes as forgiveness, the importance of individual action, and the need to teach children tolerance. Here are a few messages from the Institute's Archive.
tcv, future message, message to the future / Thursday, October 1, 2015
By Eric LindbergUSC School of Social WorkAs an adoptee from Taiwan growing up in San Antonio, Texas, Priscilla Hefley struggled to find her identity.To avoid being seen as an outsider, she embraced the mainstream culture. It wasn’t until college that she began to reconnect with her roots and what it meant to be a Chinese American.“Adoptees can have a sense of not really being American and not really being Chinese,” she said. “It was a real struggle. Where exactly do I fit?”
/ Thursday, October 1, 2015
One of Poland's most beloved films is a unique example of music uniting both Jews and gentiles in the immediate post-war period that would soon become very difficult to find anywhere else.
cagr, music as resistance, warsaw / Friday, October 2, 2015
Ralph Friedman recalls the songs he used to hear in the Vilnius ghetto, including one about a resistance leader who turned himself in to the commandant.
/ Friday, October 2, 2015
Dans cet extrait, Jules Fainzang raconte la difficulté de tenir, moralement, au camp de Laurahütte, et le réconfort qu’apporta un soir, aux déportés, la musique d’un violoniste.
/ Monday, October 5, 2015
Robert Francès se souvient de la place de la musique dans le quotidien des déportés au camp de Monowitz.Robert Francès est né le 4 décembre 1919 à Bursa, en Turquie. Il est le fils d’Isaac et d’Allegra Francès. Il a une sœur. Isaac travaille dans l’industrie de la soie. Allegra, qui a fait ses études à Paris, est professeur de français et membre de l’Alliance israélite universelle.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait Moshe Stiland évoque les activités culturelles organisées dans le camp de Gleiwitz.Moshe Stiland, né Stilman, a vu le jour le 20 octobre 1924 à Dabrowa Gornicza, en Pologne. Son père est grossiste en fruits. Sa mère tient un magasin de mode où l’on vend des chapeaux. Elle abandonne son travail pour aider son mari et s’occuper de ses quatre enfants, Moshe et ses trois sœurs.Moshe fréquente l’école communale ; puis, sa mère le met à l’école juive, en raison de l’antisémitisme ambiant. Moshe et ses sœurs sont membres de mouvements sionistes.
/ Monday, October 5, 2015
Dan Morgan-Russell has always been very good at arguing for the importance of international action against genocide.As a member of his high school debate team in Denver, his most successful speeches were always the ones in which he spoke about human rights violations and the need for the international community to intervene. Naturally, as an undergraduate at the University of Southern California, he decided to major in international relations and wrote several papers about the Rwandan Genocide.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Georges Casube raconte les activités théâtrales qui se déroulèrent au camp de Peiskretscham et auxquelles il participa.Georges Casube, né Kaszub, a vu le jour à Krosniewice, en Pologne, le 15 février 1917. Sa mère, Frida, fait de la broderie ; son père, Nathan, est tailleur. Georges a un petit frère, qui décède en bas âge.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Francine Lorch interprète une chanson scout d’avant-guerre, qui était chantée au camp de Beaune-la-Rolande. Née Christophe, Francine Lorch voit le jour le 18 août 1933. Elle est la fille de Robert Christophe et de Marcelle Nordman. Elle grandit à Paris dans une famille bourgeoise, juive et non pratiquante. Son père est historien. Pendant la Drôle de guerre, la famille se réfugie à Nice. Après la défaite de la France, en juin 1940, elle remonte à Paris. Robert Christophe est fait prisonnier en Mayenne. Il est par la suite transféré en Allemagne.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Bella Malamoud évoque les activités culturelles auxquelles elle participait au camp de Drancy.Née à Varsovie (Pologne), le 11 août 1926, Bella Malamoud, de son nom de jeune fille Kirman, est la fille de David Wolf Kirman et de Pessa Fajerstain. Elle a une sœur aînée, Anja, et une petite sœur, Léa.La famille quitte la Pologne vers 1936 pour s’installer à Saint-Ouen, en banlieue parisienne. Les parents de Bella travaillent à domicile où ils fabriquent des parapluies.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Janine Den évoque la vie culturelle au ghetto de Varsovie et la destinée tragique de Marysia Eisenstadt.Janine Den, née Pieprz, a vu le jour à Varsovie en 1924, dans une famille juive assimilée. Ses deux parents, Mieczyslaw et Maria, travaillent dans la confection. Adolescente, Janine est admise dans un lycée d’État.Après la capitulation de la Pologne, les Allemands entrent dans la ville. Les établissements scolaires ferment. Le magasin de bijoux de sa mère est détruit dans un bombardement.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Simon-François Malkes évoque les activités culturelles qui existaient au sein du ghetto de Vilno.Simon-François Malkes, né Malkeis, a vu le jour à Vilno (Pologne), le 14 septembre 1927. Il est le fils unique de Rachel Badasz et d’Abram Malkeis. Abram possède une usine d’électricité. Sa femme travaille à ses côtés.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Marek Rudnicki évoque la vie culturelle au ghetto de Varsovie et son importance face à la barbarie nazie.Marek Rudnicki est né à Lodz, en Pologne, le 24 janvier 1925. Son père, Stanislas, est médecin. Sa mère, Tziporah, s’occupe de leurs deux enfants, Marek et Isaac. Sans être très pratiquante, la famille respecte les fêtes religieuses. Les Rudnicki résident à Lodz. Marek se souvient d’un antisémitisme très répandu. Jeune, il fréquente une école hébraïque, laïque, de tendance sioniste.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Ruth Fayon se souvient de l’orchestre qui jouait à Theresienstadt, dirigé par le chef d’orchestre tchécoslovaque Karel Ancerl.Née Pinczovsky, Ruth Fayon a vu le jour le 25 novembre 1928 à Karlsbad (Tchécoslovaquie). Ses parents, Joseph et Rondal, sont d’origine polonaise. Ruth a deux sœurs. Son père tient un restaurant casher. La famille est très attachée à la tradition religieuse.Au moment de l’annexion des Sudètes, la famille abandonne Karlsbad pour Prague.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Mala Zanger se souvient de la personnalité de Rubinstein, le « bouffon du ghetto », à Varsovie.Mala Drejzla Frydman est née le 6 octobre 1927 à Grodzisk Mazowiecki, près de Varsovie (Pologne). Son père, Chyl-Frischel, tient une épicerie en gros. Sa mère, Schaindla, s’occupe de Mala et de ses frères et sœurs, Sura-Luba, Aharon et Pinkus.En 1934, le père de Mala fait faillite. La famille s’installe à Varsovie. Chyl-Frischel travaille à mi-temps dans une synagogue et continue d’exercer des activités commerciales.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Walter Spitzer raconte comment ses talents de dessinateur ont conduit la résistance à l’envoyer faire des croquis des atrocités collectionnées par Ilse Koch, la « chienne de Buchenwald ».Walter Spitzer est né le 14 juin 1927 à Cieszyn en Pologne (Haute-Silésie). Il a un frère aîné, Harry. Son père, Samuel, est fabricant de liqueur à Cieszyn. Sa mère, Margaret, est employée des chemins de fer. Peu pratiquante, la famille respecte les fêtes religieuses.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Édouard Axelrad relate comment ses talents de dessinateurs lui ont permis d’améliorer son ordinaire au camp d’Auschwitz.
/ Monday, October 5, 2015
Dans cet extrait, Jean Gemähling raconte sa rencontre avec Varian Fry, organisateur d’une filière d’évasion, à Marseille, et décrit l’aide apportée par celui-ci aux intellectuels et artistes.Jean Gemähling est né le 19 novembre 1912 à Paris. Sa mère enseigne la littérature dans un lycée et son père est professeur de Droit. Après avoir terminé ses études à l’École nationale supérieure de Chimie et achevé son service militaire en Algérie, Jean travaille à la Compagnie sucrière de Paris.
/ Monday, October 5, 2015
/ Monday, October 5, 2015
L’édition 2015-2016 du Concours national de la Résistance et de la Déportation propose aux élèves des collèges et lycées de travailler sur le thème suivant : « Résister par l’art et la littérature ».
/ Monday, October 5, 2015
Pour la quatrième année, l'USC Shoah Foundation propose aux élèves et aux enseignants participant au Concours national de la Résistance et de la Déportation, une sélection de témoignages. Pour l'année 2015-2016, le thème choisi est "Résister par l'art et la littérature".
/ Monday, October 5, 2015
This is the fourth year USC Shoah Foundation has provided an exhibit of relevant testimony clips that students may use for research or incorporate into their projects.
CNRD, france, french, contest, emmanuel debono / Monday, October 5, 2015
Harry talks about the theater that he was a part of in the Skarzysko-Kamienna labor camp and sings a song he remembers being performed.
clip / Monday, October 5, 2015
Brandeis University Professor Dawn Skorczewski examines the differences between the testimonies of two sonderkommando survivors, Dario Gabbai and his cousin Morris Venezia.
sonderkommando, sonderkommandos, sonderkommano uprising / Tuesday, October 6, 2015

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